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Être homo, ça n’a rien de super

220px-Charles_SocaridesCharles W. Socarides, MD, (1922-2005) était professeur de psychiatrie clinique à l’Albert Einstein College of Medicine de New York.

Les médias et les grandes sociétés ont profité des jeux olympiques de Sotchi pour malmener la Russie à cause de sa volonté affirmée de protéger les droits des hétérosexuels. Dans cette optique, je reposte un article de 1995 écrit par un psychiatre qui a traité des centaines d’homosexuels au cours de ses 40 ans de carrière, et qui est parvenu à en guérir environ un tiers.

Jusqu’en 1975, l’homosexualité était reconnue pour ce qu’elle est, c’est-à-dire un trouble du comportement. La gigantesque croisade pour répandre et favoriser l’homosexualité est une caractéristique du satanisme qui entreprend de faire passer un comportement de malade pour celui d’un bien portant, et présente l’antinaturel comme naturel. Cela est la preuve irréfutable que la société est diaboliquement possédée. L’humanité a été colonisée par un culte satanique, la Franc-maçonnerie (Illuminati) qui est un outil de procuration pour le cartel juif kabbaliste des banques centrales.

Sous le masque des « droits des gays », les Illuminati conduisent une attaque vicieuse et malhonnête visant à saper les institutions et les valeurs hétérosexuelles. Par exemple, malgré la propagande mensongère des médias, la Russie ne criminalise pas l’homosexualité, elle ne fait qu’interdire la propagande gay destinée aux enfants. En règle générale, les agresseurs se font passer pour les victimes, alors qu’en fait ils sont eux-mêmes à l’origine de la « haine ».

Nous éprouvons de la compassion pour les individus homosexuels. Mais nous nous opposons au plan des Illuminati qui est de détruire la société par la promotion active de ce trouble jusqu’à ce qu’il soit devenu la norme sociale.

Première partie : Comment l’Amérique est devenue gay

Par le Dr Charles Socarides (Édité et abrégé par Henry Makow)

Depuis plus de 20 ans, moi et quelques psychiatres nous sentons comme une minorité assiégée parce que nous avons continué à insister sur le fait que les homosexuels n’étaient pas nés de cette façon.

Pendant la plus grande partie du XXème siècle, nous avons considéré ce comportement comme aberrant… une véritable pathologie. Nous avons eu affaire à des patients qui enchainaient les partenaires sexuels les uns après les autres, y compris au sein d’une même nuit, puis venaient nous voir le lendemain en boitant pour nous avouer à quel point ils souffraient. Comme notre démarche consistait à aider ces gens à cesser de souffrir, beaucoup d’entre nous pensaient que nous étions en train d’accomplir le travail de Dieu.

Aujourd’hui, selon l’opinion de ceux qui compose la soi-disant élite culturelle, notre approche est « dépassée ». L’élite déclare que nous blessons les gens au lieu de les aider, et que notre démarche est bonne à jeter aux oubliettes de l’histoire. Ils sont parvenus à promouvoir cette façon de voir les choses à un grand nombre d’américains, rendant ainsi l’homosexualité à la mode et faisant d’un comportement autrefois aberrant un « mode de vie alternatif »…

LA RÉVOLUTION HOMOSEXUELLE FUT ORCHESTRÉE

altmanComment ce changement s’est-il opéré ? Eh bien, la révolution ne s’est pas produite d’elle-même… Elle émergea d’un plan, comme l’a avoué un magazine gay, afin de « rendre le monde entier gay ». Je n’invente rien. Vous pouvez lire un compte rendu de la campagne de Dennis Altman, intitulé L’homosexualisation de l’Amérique. En 1982, Altman, lui-même gay, a déclaré avec une joie non dissimulé que de plus en plus d’américains pensaient comme les gays et se comportaient comme tels. Ils se trouvaient engagés « dans un certains nombres d’aventures sexuelles de plus ou moins courtes durées, à la place de relations à long terme. » Altman a fait remarquer que les équivalents hétérosexuels de saunas gays et l’émergence de soirées d’échangisme pour les célibataires étaient des preuves que la « promiscuité et le sexe impersonnel sont davantage déterminés par les possibilités sociales que par les différences intrinsèques entre les homosexuels et les hétérosexuels, ou même entre les hommes et les femmes. »

Bille en tête, les gays ont déclaré qu’ils pouvaient « réinventer la nature humaine, se réinventer eux-mêmes ». Pour ce faire, ces réinventeurs devaient d’abord se débarrasser d’un obstacle majeur. Non, ils ne se sont pas attaqués aux membres du clergé. Ils ont pris pour cible les membres d’une prêtrise mondiale, la communauté psychiatrique, en les neutralisant par une redéfinition radicale de l’homosexualité. En 1972 et 1973 ils ont coopté la direction de l’American Psychiatric Association et à travers une série de manœuvres politiques, de mensonges et d’intimidations, ils ont « soigné » l’homosexualité d’un jour à l’autre. Ils ont obtenu de l’APA qu’elle déclare les relations sexuelles de même sexe « non comme un trouble ». Elles devinrent « une condition » aussi neutre que le fait d’être gaucher.

LA HAINE L’INTIMIDATION & L’INTOLÉRANCE

Cela équivalait à une validation complète de l’homosexualité. Ceux d’entre nous qui ont fait montre de réticence à l’égard de cette redéfinition politique furent bientôt réduits au silence lors de nos propres réunions professionnelles. Nos conférences furent annulées au sein du milieu universitaire et nos documents de recherche écartés de la publication des revues spécialisées. Des choses bien pires suivirent au sein de la culture en général. Les producteurs de télévision et de cinéma commencèrent à promouvoir des histoires où l’homosexualité était présentée comme un mode de vie légitime.

gaypride« Depuis de nombreuses années, des homosexuels perturbent nos réunions, vociférant sur les gens qui essaient de produire leurs preuves scientifiques et documentées, menaçant les docteurs individuels comme moi… Les activistes gays font preuve d’une irrationalité féroce. Ils font du moindre accord scientifique une question politique – ce qui est la seule chose qu’ils sont capable de faire, car la seule connaissance dont ils disposent n’est qu’une pseudoscience. »

Une commission d’examen a indiqué à Hollywood comment ils doivent traiter de l’homosexualité. De grands éditeurs ont refusé de publier des ouvrages faisant montre d’objections à l’égard de la révolution gay. Les gays et lesbiennes influencent l’éducation sexuelle au sein des écoles publiques, et leurs représentant ont pris le contrôle des comités de professeur dans les lycées de notre nation. Les organes législatifs étatiques ont abrogé les lois contre la sodomie.

Si la presse écrite intervenait c’était pour accompagner la révolution gay, peut-être parce que beaucoup de journalistes étaient eux-mêmes déjà favorables aux questions gay et se trouvaient être d’ardents défenseurs des homosexuels et de leurs mouvements. Et les journalistes qui n’étaient pas gays semblaient bien trop intimidés par la pensée unique pour s’opposer à ce qui se passait au sein de leurs propres rédactions.

Et maintenant, qu’arrive-t-il à ceux d’entre nous qui se lèvent pour présenter des objections ? Les activistes gays ont déjà anticipé cela. Ils ont créé une sorte de sagesse conventionnelle : déclarant que nous souffrons d’homophobie, une maladie qui a été créée par les gays en projetant leur propre hantise à l’égard de la société. Et nous sommes ainsi dépeint comme des fanatiques bigots parce que selon eux nous ne parvenons pas à traiter les gays avec compassion.

Les gays sont aujourd’hui présentés en des termes similaires aux noirs aux hispaniques ou aux handicapés. Comme les gays sont nés de cette façon et n’ont pas le choix de leur orientation sexuelle, toute personne qui vient à désigner leur état comme une aberration est maintenant un bigot antiaméricain. Étonnamment, de nos jours les étudiants de première année rentre à la maison pour leur premier Thanksgiving en annonçant : « Hé, maman ! Hé, papa ! Nous avons adopté un point de vue moral élevé. Nous avons rejoint la révolution gay. »

LE LAVAGE DE CERVEAU

Ma femme, Claire, qui possède l’aptitude infaillible d’aller au fond des choses, a déclaré un jour récemment en passant : « je pense que tout le monde est en train de subir un lavage de cerveau intensif. » Cela m’a semblé convaincant. Je sais que le terme de « lavage de cerveau » a été galvaudé. Mais la simple observation de ma femme m’a rappelé une brochure promotionnelle astucieuse que j’avais lue il y a quelques années. Elle était intitulée « Après le bal : comment l’Amérique va conquérir sa peur et sa haine des gays au cours des années 1990 », par Marshall Kirk et Madsen Hunter.

ball2Ce prospectus s’est avéré n’être qu’une compilation d’instructions utilisées par les militants gay lors de leurs campagnes pour normaliser l’anormal à travers une variété de techniques de lavage de cerveau qui avaient été condensées par Robert Jay Lifton dans son ouvrage phare « La réforme de la pensée et la psychologie du totalitarisme : une étude du lavage de cerveau en Chine. »

Ces militants ont gagné l’attention des médias et de larges financements pour radicaliser l’Amérique par un processus identifié comme la désensibilisation progressive, la confusion, puis la conversion. Ils désensibilisent l’opinion publique en promouvant l’idée que les gays « sont comme tout le monde ». Cela permet aux barrières des préjugés d’être surmontées, c’est-à-dire permettre aux hétérosexuels d’adopter une attitude neutre ou indifférente.

Ils parviennent ensuite à piéger les gens en les montrant du doigt pour les couvrir de honte et les accabler de culpabilité pour leur propre « bigoterie ». Kirk et Madsen écrivent : « Toutes les personnes normales éprouvent de la honte lorsqu’ils s’aperçoivent ne pas penser, sentir, ou agir comme un membre de la meute… L’astuce est de faire en sorte que le bigot réfractaire éprouve un sentiment contradictoire de honte lorsque son aversion à l’égard de l’homosexualité vient à faire surface. De cette manière, la publicité peut dépeindre les homophobes comme de vulgaires grandes-gueules haineuses… Elle peut les montrer sous le feu des critiques, de la haine, et de l’isolement social. Elle peut faire croire que les gays sont sujets à des souffrances terribles qui sont le résultat direct de l’attitude hostile dont même le plus réfractaire des homophobes auraient honte d’être la cause.

Puis enfin vient le processus qu’ils ont appelé la « conversion ». Kirk et Madsen ont prédit un changement de paradigme au sein de l’opinion publique qui surviendrait y compris parmi les bigots « si nous pouvons les présenter comme nous. » Ils ont déclaré : « la conversion vise à tout cela… la conversion émotionnelle, intellectuelle volontaire de l’opinion publique américaine, à travers une série d’attaques psychologiques, prenant la forme d’une propagande relayée à travers tout le pays par les médias. »

Dans le film « Philadelphia » nous voyons la technique de l’humiliation et le processus de conversion à l’œuvre au sein du pouvoir médiatique à son plus haut niveau. Nous voyons le personnage de Tom Hanks souffrir (parce qu’il est gay et a été infecté par le virus du Sida) entre les mains des bigots du cabinet d’avocats de Philadelphie au sein duquel il travaille. Nous seulement nous éprouvons de la honte face au comportement ouvertement homophobe des avocats crapuleux, mais nous venions à éprouver de la sympathie pour le sort de Hanks. (Les membre de l’académie de la Motion Picture Academy ont éprouvé tellement de sympathie à l’égard de Hanks qu’ils lui ont décerné un Oscar.) Nos émotions ont aidé à l’accomplissement de la stratégie de Kirk et Madsen : « de forcer les américains à changer leur regard, qu’ils le veuillent ou non. »

THBien peu ont osé critiquer le film « Philadelphia » comme un parfait exemple du genre de propagande annoncé par Kirk et Madsen. Depuis la publication du plan Kirk-Madsen, le peuple américain avait déjà été reprogrammé. L’homosexualité est désormais simplement devenue « un autre mode de vie ».

Et de surcroit, à cause de la persuasion incorporée dans des milliers de messages au sein des médias, l’acceptation par la société de l’homosexualité semblait un de ces détours historiques inhérent à l’époque ; oui, une sorte de conversion. Personne ne sait comme cela s’est produit, mais la nation a changé. Nous sommes devenus plus sophistiqués, dispensant plus d’amour à l’égard de tous, même envers ceux qui sont « affligés » de la maladie homosexuelle, pardon, de la condition.

En 1992, le président des États-Unis a déclaré qu’il était temps que les personnes ouvertement gay et lesbiennes ne soient pas chassées des forces armées de la nation. En 1993, les médias du pays ont célébré un immense élan de fierté gay à Washington, les téléspectateurs ont scandé avec un demi-million de manifestants : « Deux, quatre, six, huit ! Être gay c’est vraiment super ! » Cela nous a fait nous sentir bien avec nous-mêmes. Nous étions des américains patriotes. Nous venions encore d’abolir une autre forme de discrimination, nous avions anéanti l’une des affections les plus durables de la société : l’homophobie. Et le meilleur dans tout ça, nous savions maintenant qu’en plus d’être super, le fait d’être gay était à présent librement accessible…

Deuxième partie prochainement…

3 commentaires sur “Être homo, ça n’a rien de super

  1. Bonjour, Il y a quelques jours, je suis tombée sur cet article : http://www.dieutv.com/website/news/article/350/une-ancienne-icnine-gay-se-convertit-no-christ-et-n-pouse-une-femme

    Dans l’article, son témoignage est très touchant.

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