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L’Agent Britannique qui murmurait à l’oreille d’Hitler

Le nom du «Baron William de Ropp» n’est pas bien connu. Il n’y a pas de photo disponible, aucun article dans Wikipédia. Pourtant, il était un agent britannique qui s’était lié d’amitié avec Hitler et a peut-être été son maître.

Les coups diplomatiques et militaires «osés» d’Hitler, qui étonnèrent le monde, étaient fondés sur une connaissance avancée des intentions britanniques fournis par de Ropp.

Ce n’est pas le baron de Ropp sur la photo. Il s’agit de Ernst («Putzi») Hanfstaengl, un autre agent allié au cœur de l’entourage d’Hitler. Les deux hommes viennent corroborer l’argument que les Illuminati ont créé Hitler pour fomenter la guerre mondiale. Nous en dirons plus sur Putzi plus tard.

Selon Ladislas Farago, William Ropp était «l’un des opérateurs clandestins les plus mystérieux et les plus influents» de l’époque. Né en Lituanie en 1877, après ses études en Allemagne, il déménagea en Angleterre en 1910. Après avoir servi les Britanniques au cours de la Première Guerre mondiale, il s’installa à Berlin et contacta son compatriote Balte, le théoricien Nazi Alfred Rosenberg qui le présenta à Hitler.

Farago : «Une relation personnelle étroite se développa entre le Führer et de Ropp. Hitler l’utilisant comme conseiller confidentiel sur les affaires britanniques, lui présenta franchement ses plans grandioses… une confiance dont aucun autre étranger ne pouvait se prévaloir.» («Le Jeu des Renards» p.88)

De Ropp travaillait en étroite collaboration avec Rosenberg, qui dirigeait le Bureau du parti Nazi des Affaires Étrangères. Les Nazis le considéraient comme leur agent en Angleterre où il organisait le soutien au sein d’un puissant segment de l’élite Britannique connu sous le nom de «Cliveden Set» (Le Cercle Cliveden). Il organisait les visites de hauts fonctionnaires et des échanges d’informations. Dans cette atmosphère conviviale, la Luftwaffe ouvrait naïvement ses secrets aux britanniques. Cela faisait partie d’un vaste plan Illuminati (« l’Apaisement ») pour faire croire à Hitler que l’Angleterre soutiendrait sa conquête de la Russie Communiste.

Dans «Pion du Roi ou Chevalier Noir», (1995) Gwynne Thomas écrit : «Le chef Nazi s’en est entiché instantanément, surtout après avoir découvert que de Ropp avait des connections puissantes avec la société anglaise et était bien informé d’une grande partie de ce qui se passait à Londres. De Ropp non seulement jouissait de la confiance [d’Hitler], mais est devenu son porte-parole dans les relations auprès des nombreuses et importantes personnalités britanniques qu’Hitler voulait influencer… il y a des preuves solides que de Ropp a joué un rôle dans la collecte de fonds auprès de la ville de Londres pour financer plusieurs des campagnes électorales Nazies de sorte qu’à la fin de 1933, le parti Nazi était totalement établi et sous contrôle.» (p.25)

Hitler avait donc un agent britannique le finançant, le conseillant et le représentant. Jusqu’à quel point Hitler était-il lui-même un agent « britannique »?

LA LIGNE STRATÉGIQUE

Après que les Illuminati aient mis Hitler au pouvoir, ils le maintinrent en sabotant l’opposition allemande.

Le 4 mai 1938, Ludwig Beck, le Chef d’État-Major allemand appela au renversement d’Hitler, avertissant que le pays allait à la catastrophe.

Le 10 mai 1938, le Premier Ministre Chamberlain tint une conférence de presse à Cliveden House indiquant que la Grande-Bretagne était à la recherche d’un pacte avec l’Allemagne et l’Italie, et était favorable à la partition de la Tchécoslovaquie. À la suite de cet acquiescement britannique, l’armée allemande n’opposa plus de résistance aux plans de guerre d’Hitler.

En 1939, De Ropp confirma le soutien britannique dans le cas d’une attaque allemande contre la Pologne.

«Il fut confié à Rosenberg que les Britanniques mèneraient une «guerre défensive», c’est-à-dire, ne prendrait aucune mesure en matière de défense de la Pologne ou en représailles à une attaque de l’Allemagne sur ce pays. En particulier, il n’y aurait pas de bombardement aérien des territoires allemand et les allemands furent d’accord de rendre la pareille, une décision qui fut maintenue tout au long de la période de la «drôle de guerre».

«Cet «accord» convenu entre de Ropp et Rosenberg laisserait ouverte la possibilité de rapidement mettre fin à la guerre parce que, de Ropp avait déclaré : «ni l’Empire Britannique, ni l’Allemagne ne veulent risquer leur avenir pour l’amour d’un État qui a cessé d’exister».

Ainsi, en trahissant les Polonais, les Illuminati basés en Grande Bretagne réussirent à donner aux Nazis une frontière commune avec Staline. Ce n’était qu’une question de temps avant que la guerre n’éclate entre eux.

La tâche consistait maintenant à piéger Hitler dans une guerre sur deux fronts, en provoquant une attaque à l’Ouest. Peut-être, que le baron de Ropp l’assura que les Britanniques et les Français se retourneraient à nouveau.

Après le début de la guerre, De Ropp déplaça sa base d’opérations en Suisse neutre, mais, selon Farago, «à plusieurs reprises au cours de la guerre, il fut convoqué par Hitler pour des consultations.» (89)

Rappelez-vous, William Ropp était un agent britannique. La question demeure, Hitler était-il lui-même consciemment un agent britannique (c’est à dire Illuminati)? Les Illuminati parrainent des gens égarés dont les objectifs naturels sont en ligne avec l’ordre du jour des Illuminati et les manipulent. Mais Hitler n’était pas un imbécile. Il est tout à fait possible qu’Hitler ait été un agent conscient et que Ropp lui ait servi de maître.

Dans le livre commandité par LaRouche, «The New Dark Ages Conspiracy : Britain’s Plot to Destroy Civilisation» (1980), Carol White a écrit : «La vérité à propos d’Hitler, c’est qu’il n’a pas seulement été créé uniquement par les réseaux Britanniques et Anglos-alliés, mais que le gouvernement britannique dirigé par Winston Churchill a continué d’utiliser Hitler pendant la guerre. Si ce fait n’était pas bien compris par les forces alliées, il a par contre été fortement suspecté en Allemagne même.» (P.126)

HANFSTAENGL

«Putzi» Hanfstaengl (1887-1975) est un autre personnage mystérieux qui s’identifie lui-même comme un agent américain dans ses mémoires : «Hitler : les Années Manquantes» (1957) Il pourrait provenir d’un environnement Illuminati, peut-être d’une mère juive, une «Heine». Il fraternisait avec FDR et d’autres membres de l’élite à l’Université Harvard et plus tard à New York où il gérait le commerce d’art de son père.

Il a déménagé en Allemagne dans les années 1920 et fut présenté à Hitler par l’attaché militaire américain à Berlin, Truman Smith.

Smith lui avait demandé de «garder un œil sur Hitler.» Hanfstaengl fit bientôt parti du cercle intime d’Hitler, calmant souvent le Führer en lui jouant du piano. Plus concrètement, Hanfstaengl finança l’expansion du journal Nazi en faisant un quotidien. Il composa des chants de marche Nazis, sur la base des hymnes de football de Harvard. Il cacha Hitler après l’échec du Putsch de la Brasserie et sa jolie femme empêcha le Führer désemparé de se suicider. Hanfstaengel fut le directeur de la presse étrangère de Hitler de 1933 à 1937. Précisons encore, cet homme était un agent américain.

(Hanfstaengl et un des banquiers d’Hitler)

Enfin, Truman Smith mérite une mention. Bien qu’il ait été un membre du Département d’État, il aida à organiser le soutien Nazi aux États-Unis. Il organisa les visites de Charles Lindberg dans les installations de la Luftwaffe. Plus tard, à Washington, il organisa l’opposition politique et militaire à la participation des États-Unis à la Deuxième Guerre mondiale. (Farago, pp 556-557)

Essentiellement, Hanfstaengl et Smith ont joué un rôle parallèle à celui du baron de Ropp. Ils ont trompé Hitler (et les Allemands en général) en leur faisant croire qu’ils avaient le soutien de l’establishment britannique et américain (c’est à dire les Illuminati) dans leur confrontation avec la Russie.

Les Illuminati soutiennent les deux côtés de toutes les guerres, et peuvent facilement en contrôler le résultat en retirant leur soutien à un côté à un moment clef.

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