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Les Marranes – Les Crypto-Juifs originels

Après que les Chrétiens aient repris l’Espagne aux Maures au 14ème siècle, ils voulurent «extirper tous les éléments non-Catholiques dans le pays et l’unir sous la domination Catholique.» (Prinz, «Les Juifs Secrets», p.25)

Les Juifs vivaient en Espagne depuis le IVème siècle avant J.C. et avaient prospéré sous les Maures. L’Église exigea que les plus de 400 000 Juifs présent se convertissent ou qu’ils quittent le territoire. Parce que des milliers avaient été massacrés au cours des émeutes anti-juives de 1391, plus de 250 000 Juifs acceptèrent de se convertir et devinrent connu sous le nom de « conversos ».

Cependant, l’Église s’est vite rendu compte de son erreur fatale. Comme on pouvait s’y attendre, la majorité de ces convertis n’étaient pas sincères. Ils furent appelés les «Marranes» de l’espagnol : «Marranos» (cochons). Mais maintenant, ils étaient exonérés des impôts et des restrictions qui régissaient les Juifs. Ils étaient plus influents et puissants que jamais.

Ils se sont mariés avec la noblesse et s’élevèrent aux plus hautes positions du gouvernement et de l’Église. Le fondateur des jésuites, Ignace de Loyola, était un Marrane, et son successeur Diego Lainex l’était aussi. La plupart des conversos pratiquaient le Judaïsme en secret et étaient considérés comme des «judaïseurs».

Les «Juifs avaient envahi l’Espagne de l’intérieur», écrit Joachim Prinz. Le judaïsme n’était pas seulement incurable, il semblait être invincible… plutôt que de résoudre la «question juive», les conversions de masse avait créé un nouveau problème : une puissante classe moyenne composée de Juifs secrets.» (42).

Les Marranes sont le modèle original pour les Francs-maçons et les Communistes. Ils prétendent appartenir à un groupe déterminé. Mais, comme les Francs-maçons, les Marranes employaient des poignées de main pour se reconnaître mutuellement et se réunissaient en secret la nuit pour répéter leurs dogmes subversifs.

EXCEPTIONS

Il y avait aussi de nombreuses exceptions, des convertis sincères comme sainte Thérèse d’Avila, la plus grande femme mystique Catholique. Ironiquement, lorsque Ferdinand et Isabelle restaurèrent l’inquisition en 1478, les convertis sincères prirent les devants. «Le plus célèbre d’entre eux est Tomas de Torquemada, qui était issu d’une famille juive, tout comme son assistant tout aussi violent, Diego de Daza.» (39)

L’Inquisition est considérée comme l’un des événements les plus traumatisants de l’histoire juive. Mais elle n’avait aucun pouvoir sur les Juifs. Elle ne visait que les convertis Chrétiens qui n’étaient pas sincères :

«Les Marranes… ne comparaissaient pas en tant que Juifs, mais en tant que Chrétiens hérétiques. Le nombre de Marranes qui ont été exécutés est estimé à 30 000. La même Inquisition punissait également les Musulmans («Morisques» de l’espagnol «Moriscos»). Toutefois, aucun Juif non converti ne fut jamais appelé devant les tribunaux.»

Néanmoins, en 1492 Ferdinand et Isabelle expulsèrent tous les Juifs de l’Espagne. Joachim Prinz fait une remarque sur l’incapacité «apparente des Juifs de comprendre ou de prévoir leurs propres catastrophes. Les Juifs, dont l’histoire se compose de tragédies les unes après les autres, ne semblent jamais être préparés pour aucune d’entre elles.» (51)

LES CONSÉQUENCES

Le même processus fut répété au Portugal. Bien que de nombreux Marranes ibériques renoncèrent à leur religion, bon nombre d’entre eux s’en furent et inondèrent l’Europe et le Nouveau Monde (Amérique) en tant que Juifs qui étaient en mesure de passer pour des Chrétiens, à savoir « les crypto-juifs ».

Selon Prinz, ils ont prospéré partout où ils allaient. Leur richesse était «stupéfiante … A Bordeaux, Avignon, Nantes et Marseille, cela devint un compliment pour caractériser un homme d’affaires chrétien de «riche comme un juif.»

En Angleterre, il n’y avait que 100 familles marranes au début du 17ème siècle, mais «elles étaient parmi les marchands les plus prospère de Londres.» En Allemagne, 40 familles Marranes participèrent à la fondation de la Banque de Hambourg en 1619. La fortune des Marranes d’Altona près de Hambourg, était estimé à près de six millions de marks et quelques-unes des plus belles maisons dans les environs d’Amsterdam appartenaient à des Marranes nouvellement arrivés.» (127)

Tout le monde savait qu’ils étaient Chrétiens par commodité. «La fiction de leur allégeance chrétienne était un arrangement d’affaires… [Leurs] établissements bancaires était une institution Chrétienne avec laquelle les Empereurs, les Ducs, les Évêques, et les chefs de gouvernement pouvaient faire des affaires en toute sécurité.» (130)

Inévitablement, ces banquiers Marranes et les commerçants agissaient de concert. Prinz raconte l’histoire du banquier Marrane (de la Maison de Mendès) Joseph Nassi (1524-1579) qui contrôlait l’Empire Ottoman en tant que conseiller du Sultan Souleymane et plus tard de son fils, Salim. Il essaya de créer un foyer national juif près de Tibériade, mais aucun Juif ne voulait s’y installer. Plus tard, il conçu la «Stratégie Marrane». Il ferait boycotter ou ruiner quiconque persécutait les Marranes. (141)

Lorsqu’un incendie a détruit le port de Venise en 1571, beaucoup soupçonnaient la Maison Mendes d’avoir payé des pyromanes pour y mettre le feu. «Et tandis que la plupart de la ville était encore en flammes, Joseph Nassi conseillait au Sultan d’occuper l’île vénitienne de Chypre, la déclarant une possession turque.» (142)

CONCLUSION

La véritable histoire du monde est l’histoire de la façon dont certains riches banquiers juifs et leurs alliés non juifs francs-maçons ont conspiré pour établir la dictature de gouvernement mondial en train d’émerger.

Le contour de cette histoire devient visible. Les Juifs ou les Marranes ont toujours dominé le commerce. Leurs alliés naturels étaient les aristocrates locaux, qui leur fournissaient une protection. Des mariages mixtes ont eu lieu. Les familles royales d’Europe sont probablement à moitié juives.

Maintenant, nous assistons à une résurgence du système féodal, où les masses doivent servir ce petit réseau consanguin de super-riches pervers et satanistes. Le système éducatif et les médias enseignent aux serfs à embrasser l’ordre du jour des Illuminati. Des flics brandissant des tasers et les soldats sauront ramener les retardataires dans le droit chemin.

Bienvenue dans le Nouvel Ordre Mondial. Il comporte un certain risque pour les Juifs qui ne font pas partie de cette petite clique. Mais les Juifs n’ont jamais été très bon à «prédire leurs propres catastrophes.»

3 commentaires sur “Les Marranes – Les Crypto-Juifs originels

  1. Sur saint Ignace de Loyola.

    L’Eglise – la véritable Eglise de Jésus-Christ s’entend, non la contrefaçon qui l’éclipse depuis un demi-siècle, parle en son nom et la discrédite – est infaillible dans la canonisation des saints. C’est pourquoi Ignace de Loyola, fondateur de l’Ordre des Jésuites et inventeur des célèbres « exercices » pratiqués lors des retraites qui portent son nom et ont permis de sauver d’innombrables âmes est un véritable saint. Qu’il soit d’extraction marrane n’a aucune importance et, comme le remarque fort justement M. Makow, tel était le cas de saint Jean de la Croix et sainte Thérèse d’Avila dont peu ou prou contestent la sainteté. Fils de marrane, et alors ? Il n’y a pas de fatalité en la matière, Dieu est tout-puissant et peu fort bien faire un grand saint d’un fils de marrane. Voire d’un marrane (qui cesse ipso facto de l’être !). Il faut ajouter que tous les hommes sans exception ont des défauts et des mauvais penchants, mais que les saints, contrairement au commun qui s’y complaisent souvent, luttent durement pour les corriger, et à cet égard, Ignace de Loyola a été particulièrement exemplaire.

    Ceci-dit, il est incontestable que l’Ordre des Jésuites, ou Compagnie de Jésus, a été infiltré de longue date par des corrupteurs aussi nocifs qu’efficaces qui lui ont donné une apparence hideuse et une réputation sulfureuse. Mais s’il en a été ainsi – et aujourd’hui toutes les congrégations (officielles) sont corrompues depuis leur allégeance à Vatican II -, c’est précisément parce que cette société était particulièrement efficace tant pour l’évangélisation que pour la défense de l’Eglise qu’il fallait impérativement la compromettre et la disqualifier. Hélas, notamment outre-Atlantique où le protestantisme règne en maître, les calomnies sur saint Ignace de Loyola sont devenues des « vérités » universellement répandues et sont tristement reprises par des gens de bonne foi qui, par méconnaissance de la doctrine infaillible de l’Eglise, croyant bien faire, les répètent selon la terrible logique du désinformé désinformateur si bien décrite par Valdimir Volkoff. On a même ici affaire à un cas typique d’intoxication (cf. Pierre Nord, l’Intoxication et tous les ouvrages de Volkoff sur la désinformation), à laquelle même les plus avertis ne peuvent se vanter de toujours échapper.

    Par contre, oui, le sieur Escriva de Balaguer, fondateur de la secte de l’Opus Dei, attrape-mouche des cadres « BCBG » et prétendument canonisé en 2002 par Wojtila alias Jean-Paul II, est bel et bien un faux saint et un vrai « fasciste et débauché » selon l’expression du Monde Diplomatique (qui le qualifie pourtant de « saint » dans le but de déconsidérer l’Eglise qui semble lui attribuer ce titre de gloire). Que dire de l’histrion Wojtila et du fourbe Roncalli, « canonisés » en 2014 par le bon « pape François » en compagnie du « pape » « retraité ! » Benoît XVI …

    N.B.
    Sur les différents points abordés ici, on pourra consulter les courts articles de l’abbé Ricossa figurant p. 29 du n° 53 et p. 36 du n° 54 de la revue Sodalitium (téléchargeables sur sodalitium.eu).

  2. Déjà c’est de la couille de canoniser c’est de l’idolâtrie Loyola un saint et mon cu c’est du poulet

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